mardi 31 juillet 2012

Surprise.

HELLOOOOOOOOO.
Juste un petit message pour vous annoncer la super nouvelle : j'ai les cheveux lisses !



dimanche 29 juillet 2012

Jazz in Marciac. #2

La soirée était définitivement placée sous le signe du cool, dans tout les sens du terme.
Les notes sont dissonantes, le  rythme irrégulier, mais les délires Jazzy de The Bad Plus et de leur invité Joshua Red man s’accordent étrangement bien.  Pour cette première partie, nous retrouvons le groupe, surexcité, qui ne peut s’empêcher de jouer même durant les applaudissements d’un public emballé. Mr. François Hollande, venu nous rendre visite, reste perplexe devant David King qui se déchaine sur sa batterie, en total osmose avec Ethan Iverson, le pianiste. On passe d’un univers à un autre dans cette succession de thèmes. On serait presque bercé par le magnifique « People Like You », tandis qu’on ne peut s’empêcher de se trémousser sur les mélodies improbables de « 2 AM ». C’est l’avantage avec The Bad Plus, on ne sait jamais à quoi s’attendre.




Vers 23h, les ondes radio résonnent sous le chapiteau. Sur le titre « Hold on me », Esperanza Spalding s’installe. Elle manie sa contrebasse et sa basse comme une reine, pour elle, nous sommes ses princes et princesses. Elle nous emmène en voyage, nous voila définitivement conquis après « Black Gold ». Sa voix part dans des vibes et des aigus inimitables, elle nous impose un rythme groove  et nous confie ses plus précieux secrets, en chantant et jouant incroyablement bien. L’auditoire se réchauffe peu à peu, et chante avec la magnifique musicienne. Elle fini par un péché d’égoïsme en venant jouer pour elle seule pour se retrouver avec sa contrebasse, qui lui manque terriblement. Elle nous livre alors l’une de des plus belles improvisations. La reine est au sommet.






vendredi 27 juillet 2012

Jazz in Marciac #1


Me voilà enfin arrivée à Marciac. Ce petit village, habituellement très calme, devient chaque été le théatre du meilleur de la scene jazz mondial. Cette année? Le grand chapiteau acceuille entre-autre Bobby Mcferrin, Esperanza Spalding, Marcus Miller, Diane Reeves, Avishai Cohen et j'en passe.

Je suis benevole au journal du festival "jazz au coeur" pour la premiere fois cette année. J'espere ecrire plusieurs papiers entre les distributions de journaux, je suis pas venu là pour ne rien faire quand meme !
Le lancement du festival a eu lieu cette année avec les victoires du jazz, qui on acceuillit de merveilleux artistes tel que Vincent Artaud, Miszja Michel Fitzgerald, Guillaume Perret. .
Pour moi, ces victoires était visiblement influencé par tout les courants de musique actuels comme folk, electro et même rock, Sandra Nkake a d'ailleur repris "whole lotta love" de Led Zeppelin durant son set.

Aujourd'hui, journée tres calme a siroter un bon soda devant la scene off du festival, sur la place, a écouter le groupe de jazz-swing Julien Silvand All Stars. Peut etre plus d'actions ce soir, avec les concerts de melody gardot et Bobby Mcferrin ? Qui sait ?

lundi 23 juillet 2012

Channel Orange.

Après quelques semaines de vacances, je me sens assez faible. L'ennui et le mauvais temps m'achèvent, et j'attends impatiemment mon départ. Et oui, car comme je vous le disais, je déménage dans le 18eme arrondissement. Le grand jour arrive: mardi, j'aurais un nouveau chez moi, et de nouveaux cheveux. Oui, car je vais me faire un lissage brésilien, ce n'est pas que j'en ai marre de ma coupe afro, mais j'ai juste envie de changer. Oui, ça arrive. Et mercredi, fini les vacances ! Je pars à Marciac pour couvrir le festival de Jazz, en tant que journaliste bénévole au sein du journal du festival. Je suis un peu anxieuse, mais tellement contente : je vais enfin faire quelque chose d’intéressant et de productif ! D'ailleurs, je ne sais pas si vous avez remarquez, mais il m'arrive de merveilleuses histoires à chaque fois qu'arrive l'été. Moi j'adore. Anyway.




Parlons de Mr. Frank Ocean. Haaaa, tout le monde l'aime, avec sa gueule d'ange et sa voix envoûtante. Ce beau jeune homme a révélé son premier album solo (il fait à l'origine partie du collectif Odd Future, ces voyous là): Channel Orange. Les morceaux sont aussi beaux qu'intriguant; en effet mr. Ocean a révélé sa bisexualité peu avant la sortie de son album avec une magnifique lettre posté sur tumblr, ce qui lui a valu beaucoup de messages d'encouragements, de soutiens, mais aussi de moqueries. Une de ses chansons, "Bad Religion" a aussi fait polémique, car il y parle de la religion musulman, qu'il considère comme "mauvaise" car elle ne l'accepte pas tel comme il est. A mon avis, ce n'est pas vraiment l'idée qu'il voulait faire passer, plutôt un moyen de crier son désespoir et ses doutes. Mais comment ne pas aimer ce petit gars... comment ?




Et voici sa lettre, tellement jolie :
 "Qui que vous soyez, où que vous soyez… Je commence à penser que tous autant que nous sommes, nous ne sommes pas si différents. Nous sommes tous des êtres humains appâtés par les ténèbres. Nous voulons tous être vus, touchés, écoutés, considérés comme important. Mais ce qui m’importe le plus, présentement, ce sont les gens que j’aime. Ils sont tout pour moi. Au cours de ces trois dernières années, j’ai hurlé devant le Grand Créateur. Hurlé devant les nuages dont le ciel est rempli. J’ai imploré des explications. De la clémence, peut-être. Une paix intérieure,  comme de la manne jetée du ciel.
Il y a 4 étés, j’ai rencontré quelqu’un. J’avais 19 ans. Lui aussi. On a traîné ensemble cet été-là, et celui d’après aussi. À deux, presque tous les jours. Le fil du temps semblait s’évanouir à chaque instant que l’on vivait ensemble. Je passais mes journées à le regarder, regarder son sourire. Je buvais autant ses paroles que ses silences… Jusqu’à ce qu’il soit l’heure d’aller se coucher. Alors, souvent, on dormait ensemble. Et puis, au fur et à mesure que le temps passait, j’ai réalisé une chose : j’étais amoureux. C’était maladif, c’était sans espoir. Il n’y avait aucun moyen pour moi de m’en échapper. Impossible de négocier avec mes sentiments. Pas le choix. C’était mon premier amour, et ça a changé ma vie. Plus tard, mon esprit a divagué jusqu’à se souvenir des femmes avec qui je suis sorti, celles qui ont compté pour moi, celles que j’ai cru aimer. Je me suis rappelé les chansons romantiques que j’écoutais quand j’étais adolescent. Celles que j’ai joué quand j’ai eu une petite copine pour la première fois. J’ai alors compris que ces chansons avaient été écrites dans une langue qui m’avait toujours été inconnue.
Je me suis pris toutes ces réalités dans la gueule, trop vite, d’un coup. Imaginez qu’on vous balance dans le vide depuis un avion. Moi, j’étais même pas dans un avion. En fait, j’étais dans une Nissan Maxima, la caisse avec laquelle je m’étais cassé à Los Angeles. Assis sur la banquette, j’ai avoué toute la vérité à ce mec. Je pleurais au fur et à mesure que les mots s’échappaient de ma bouche.  Je pleurais parce que je faisais le deuil de ces mots, de ces secrets qui n’en étaient plus au fur et à mesure que je les révélais. Il m’a fait une petite tape dans le dos. Il a dit des choses gentilles. Il a fait de son mieux. Mais il n’a pas abondé dans mon sens : parce qu’il devait retourner à l’intérieur, parce qu’il était tard et parce que sa copine l’attendait à l’étage. Pendant les 3 années qui ont suivi, il a continué à refuser de me dévoiler la vraie nature de ses sentiments. Je me suis senti bête à avoir imaginé que cet amour était réciproque, des années durant.
Maintenant, imaginez que vous êtes sur une falaise et qu’on vous jette dans le vide. Non, j’étais pas en haut d’une falaise. J’étais encore dans ma caisse, en train de me dire que tout irait bien, en train d’essayer d’inspirer des grandes bouffées d’air. Puis j’ai respiré un grand coup et j’ai fait avec. Et j’ai continué cette amitié un peu étrange avec lui, parce que je ne pouvais pas m’imaginer ne plus le voir. Je me suis battu pour prendre le dessus sur mes émotions. Je n’y ai pas toujours réussi.
Et la danse a continué… J’ai gardé le rythme pendant plusieurs été. Maintenant, l’hiver est revenu. J’écris ces lignes depuis un avion de la Nouvelle Orléans, en direction de Los Angeles. Je suis rentré à la maison pour Noël. Là, je suis assis du côté du hublot. On est le 27 décembre 2011. J’ai déjà composé deux albums. J’ai écrit pour me donner une activité et me préserver de la folie. J’ai eu envie de créer des univers plus roses que celui dans lequel je vis. J’ai essayé d’y ranger les émotions qui m’ont assiégé. Je suis étonné de voir à quel point toute cette histoire m’a emmené loin.
Avant d’avoir à écrire ces lignes, oui, je me suis confié à des gens. Je pense pouvoir dire qu’ils m’ont aidé à rester vivant. Sincèrement. Ce sont ces gens là que j’ai envie de remercier, du plus profond de mon coeur. Vous vous reconnaîtrez, c’est certain. Des êtres humains incroyables. Probablement des anges. Je ne sais pas ce qu’il va se passer maintenant, et ça me va. Je n’ai plus de secret à cacher. Ou ptêt quelques autres, des petites choses. Mais rien de fou, bref vous voyez ce que je veux dire. Je ne me suis jamais senti seul. Tant que j’avais un truc à faire. Je pense pas avoir à être seul un jour. Merci à vous pour ça.
Cher premier amour, je te suis reconnaissant. Reconnaissant, parce que même si on n’a jamais vécu ce que j’aurais aimé que l’on vive, quelque chose s’est passé. Il y a des choses qui ont lieu. D’autres, jamais. Et voilà où nous en sommes aujourd’hui. Je ne t’oublierai jamais. Je n’oublierai jamais nos étés. Je me souviendrai toujours de celui que j’étais avant de te rencontrer. Je me souviendrai toujours de celui que tu as été, de comment on a grandi, puis jamais changé. Je n’ai jamais eu autant de respect pour la vie et le fait de vivre que présentement.  Peut-être bien qu’il m’a fallu frôler la mort pour me sentir vivant. Merci. Merci aussi à ma mère, celle qui m’a élevé et qui a fait de moi un homme fort. Maman, je sais que si je suis fort aujourd’hui, c’est d’abord parce que toi tu l’as toujours été. Alors merci. Merci à tous. Pour tout. Aujourd’hui je me sens libre. Et si j’ouvre grand mes oreilles… je suis même capable d’entendre le ciel s’écrouler. »

lundi 16 juillet 2012

It's rainig men (Part. 3)

Dimanche 1er juillet, dernier jour de fashion week masculine.


Je me reveille posément, il fait beau, c'est les vacances... j'en oublie presque le défilé Songzio. J'arrive à 14h et quelques devant la porte du garage turenne avec ma cousine, mais on nous annonce qu'on ne peut pas rentrer maintenant. Un peu surprise, je retourne mon carton d'invitation... Ah oui, effectivement, c'est à 15h. Pas grave, on se fait un mini brunch au café du marché des enfants rouge, en essayant de deviner qui va au défilé ou pas. On croise Pedro Winter qui balade son chien, un moment plutôt cool.
Après avoir patienté devant le garage avec entre autre Ajak Deng, la super model black, on peut enfin s'installer,et le défilé commence peu après.


Pour Songzio, pas question de porter du slim au prochain été: Il faut du large, du confortable. Les pantalons sont XL, leurs couleurs vont du gris chiné au bleu ciel, en passant bien sur, par le blanc et le noir, qui sont les couleurs phares de cette collection. Certaines vestes rappellent vraiment la culture asiatique, mais j'y ai vu beaucoup de cuir, ce qui selon moi, était l'un des points faibles de cette collection. Pourquoi mettre du cuir, quand toutes ces tenues sont si aérées ? Par contre, j'ai vraiment aimé les pulls à fine mailles, qui donnait un côté cool et effortless.





vendredi 13 juillet 2012

It's raining men (Part. 2)

C'est en écoutant du Frank Ocean que je vous écrit ce post. Son nouvel album est sorti hier, et je ne m'en lasse pas. Mais bon, on en reparlera un peu plus tard.


Je continue mon périple de fashion week !
Après mon épreuve de brevet histoire, le vendredi 29 juin, le devoir m'appelle, je cours prendre le train pour assister au défilé Juun.J , brillant créateur coréen. Je suis l'une des premieres à arriver dans la file d'attente, ce qui me laisse le temps de profiter de ce tourbillon de personnalités asiatiques, italiennes, de tout ce lot de rédacteurs en chefs, de journalistes, de photographes et d'inconnus. J'entends aussi les conversations diverses et variées de mes "acolytes" blogueurs (ou piques-assiettes, ca dépends des points de vus), des conversations assez hilarantes, car elles sont exagérées. Oui, je ne supporte pas tellement les gens qui ne se sentent plus après avoir été invité à une party Jean-Paul Gaultier. Il faut toujours garder les pieds sur terre, croyez moi. Après trentes bonnes minutes, me voilà enfin assise dans cette immense galerie de minéralogie. Les gens se taisent, les mannequins arrivent.
Pour Juun.J, tout est question de superpositions et d'accumulations sur certains models. Les tailles sont démesurées, les tissus frottent, c'est une collection aérienne. Un très bon choix de matieres et surtout de couleurs: j'ai vraiment aimé cette esprit "monochromes" sur les tenues blanches. A la main des mannequins, des pochettes pour homme, un des accessoires phares de cette année, elles sont noirs ou fluo, ce qui donne plus de peps. A leurs ongles, un vernis doré, à la lady gaga. Et sur leurs têtes, des casquettes. Juun.J réussie à mêler la culture Street à une certaine classe. Un dernier coup de cœur pour les vestes retroussées sur la chemise, et les vestes, elles, rentrées dans le pantalon. Un peu d'innovation, ça fait du bien.






Après ce joli défilé, me voila à la mosquée de Paris pour manger une brick à l'oeuf avec ma maman. J'aime bien cet endroit, l'ambiance est super... mais il y des oiseaux qui rentrent à l’intérieure. Des oiseaux... AU  SECOURS. Bref, je suis rentrée, j'ai pris une douche, j'ai été au bal de mon bahut et c'était AWESOME.

Le lendemain matin. 
Un réveil difficile. Vous imaginez dormir avec 6 autres amies dans la même pièce ? Mission impossible. Je suis la première à me lever et à partir, vers 8h30. Il est 8h40, j'attends le bus, et je ne sais pas comment j'ai fait pour arriver jusqu'ici. Je me rends compte que le prochain bus est à 9h10. Je calcule rapidement, le temps que j'arrive à la gare, que je prenne le train, j'arriverais devant le lycée Turgot pour assister au défilé Bill Tornade vers 10h30. Le show est à 10h, et les défilés du matin commencent rarement en retard. Fuck it. J'arrive en trombe devant le lycée, je rentre en toute discrétion, le show vient juste de commencer. Je m'assieds tranquillement. Like a boss mouhahaha.


Vous ai-je déjà dit que Bill Tornade était l'un de mes créateurs favoris ? Et bien comme ça, c'est fait. Les mannequins sont à l'aise, il y a même quelques fous rires. Ils me font penser à de jeunes bourgeois vacanciers cherchant à s'encanailler. Leurs chemises sont ouvertes, mais rentrées dans leurs pants. Des tenues propres et chics, modernisées par le choix des matières: beaucoup de jean (personnellement, je suis pas fan du look total jean, cela donne un côté trop 90's pour moi. Après tout, chacun ses goûts), de lin, de coton. Un peu de cuir, avec de magnifiques vestes. Des costumes parfaitement taillé. Et bien sur, ces superbes tee-shirts imprimés palmiers. En sortant de ce défilé, beaucoup de gens se sentait blasés, j'ai entendu beaucoup de "Ouais... bof.". Et bien moi, j'ai aimé.




Ce jeune homme est mon mannequin favoris, je l'adore. 



Il est 10h40, je n'ai plus rien à perdre. Je saute dans le bus qui nous emmène vers une destination inconnue. Je ne sais pas vers quel show il se dirige, mais tant pis. J'ai eu le malheur de penser qu'il nous emmènerait dans le même coin, parce qu'habituellement, tout les défilés se passent dans le même quartier. 
Me voila donc porte d'Orleans (ENORME BLAGUE), perdue, au milieu de centaines de personnes tenant toutes un carton rouge dans les mains: Kenzo. Mon dieu. J'ai paniqué. Je l'avoue. J'ai pris du café dans les petites caravanes Starbucks (autant en profiter), et je suis partie, à la recherche du métro. Finalement, j'ai réussi à retrouver ma maison... vers 18h. #joke
Suis-je folle ? Des fois, je me pose la question.

jeudi 5 juillet 2012

It's raining men. (Part.1: Henrik Visbskov)

AAAAAAAHHHHH C'EST LES VACANCES.
Fini les révisions intenses, fini le collège, fini la guerre froide et la trigonométrie. J'ai passé ma derniere épreuve de brevet aujourd'hui, je me sens étrangement libre. Pour deux mois, du moins.
Hier, après avoir passé mes examens de français et de maths, j'ai tranquillement été au show d'Henrik Vibskov. J'ai retrouvé cette fausse bonne ambiance si bizzare qu'on ne peut trouver qu'à la fashion week. C'était pas si mal, de retrouver toutes les DIVAS et les fashionistas qui ressemblent à des extraterrestres avec leurs fringues. J'étais si fatiguée que j'ai du m’asseoir pour ne pas tomber dans les pommes.
J'attendais de l'originalité de la part du duo de créateur, comme d'habitude, et bien je n'ai pas été déçue.



Galerie - Le défilé Henrik Vibskov, vu par Serge Ricco - 28 juin 2012


Déjà, deux "commis" avancent une espece de tente rose, de 10 metres de longs, avec des points noirs qui emergent de tout les côtés. J'ai appelé ça le vers de terre à la varicelle personnellement... (on s'occupe comme on peut.) ! Puis au fur et à mesure que les garçons installent le... La bête, on peut apercevoir des têtes, emballés dans un tissus rose, qui s'extirpent de la tente. ETRANGE. Ils sortent leurs torses, tout emballés de ce tissus de coton rose, et commencent à danser, collés à cette structure gonflable. J'ai halluciné, je vous le dit tout de suite. Ah des mannequins ! Que des mannequins noirs pour ce défilé, ça change, et ça fait plaisir. Quelques femmes. Un défilé avec beaucoup de pieces classiques, revisités à la sauce Vibskov : Très colorées, avec quelques imprimés et des accessoires insolites, comme les barres de cheveux et les sacs filets de peches par exemple. C'était un peu le mélange des sapeurs de Brazzaville avec les pêcheurs de pointe-noir (Congo). Une collection basée sur le pois, ce qui a éveillé l'originalité et l'audace du duo: des découpes pois directement prélevé sur le tissu, osé ! 
J'ai même pu parler un peu avec le mannequin albinos Shaun Ross, qui fait ultra sensation en ce moment, et qui est finalement assez cool. 




Galerie - Le défilé Henrik Vibskov, vu par Serge Ricco - 28 juin 2012

Galerie - Le défilé Henrik Vibskov, vu par Serge Ricco - 28 juin 2012


Galerie - Le défilé Henrik Vibskov, vu par Serge Ricco - 28 juin 2012


Une belle journée donc !