mercredi 27 avril 2011

Naufrage chez Virginie.

Il y a 2 semaines, très nouveau pour moi, je vivais une ouverture de boutique. Et pas de n’importe quelle boutique : celle de la créatrice Virginie Castaway. Elle inaugurait son 2eme shop parisien rue Debeylleme.

Pour être honnête, j’étais un peu en stress, vu que je ne connaissais personne (bon, a part ma mère, mais ce n’est pas pareil) et que c’était très nouveau pour moi ! Je m’attendais à une ambiance « froide », comme dans les fashion weeks par exemple. Donc j’y allais rassurée à moitié.

Déjà, la boutique est vraiment magnifique. C’est lumineux et super accueillant. «Je ne voulais pas quelque chose de carré, je voulais vraiment que cela me corresponde et que l’on retrouve mon univers » m’a-t-elle expliqué (oui, j’ai eu une mini-entrevue avec elle).
L’ambiance était vraiment très détendue, tout le monde parlaient avec tout le monde et j’ai même pu rencontrer Chris, bloggeuse sur Chris Black Pink ! On a bien discuté, c’était cool.
Comparée à certaines créatrices que je trouve un peu « jet-set et bling-bling », Virginie est vraiment très sympa et à prit le temps de parler avec tout le monde (même avec moi !), et c’est assez rare dans la mode. Et en plus elle est très jolie. Non sans rire !

Mais je ne vais pas vous parler de la créatrice sans vous parler de la collection. Toujours dans un esprit « on the road » (castaway veut dire "naufragé", ce qui l'inspire de jours en jours) mais pas négligé, chic même. J’ai pu voir des pièces et des imprimés que l’on retrouvait souvent, comme les rayures Oshkosh, la robe-chemise blanche ou encore la veste pailletée. « Le vrai basique de la maison reste la lingerie en coton, c’est ce qui me plait le plus et surtout je me retrouve dans ce basique » m’a confiée Virginie.





La créatrice, Virginie.



Quelques pieces de la collection été.

En 5 ans d’existence, la marque Virginie Castaway s’est forgée une identitée. Les jaloux disent que ce sont des créations éphémères, ou encore que c’est du déjà vu. « Je me fiche de ce que disent les autres ! Je ne pense vraiment pas que c’est une marque « de passage », et je suis mes envies et mes idées sans me soucier des mauvaises langues », m’a-t-elle dit.
Effectivement, Virginie Castaway a sa propre marque de fabrique, et c’est très réussi. Tellement bien réussi que j’avais envie de tous porter !
A quand le défilé ?





mardi 26 avril 2011

Be Glee.

Shuester, Sylvester, Rachel, Kurt, Tina, Arty, Finn, Mercedes.

J’ai eu une bonne semaine d’absence, et j’en suis vraiment désolée ! Les vacances, et tout ce soleil, ça me fait tourner la tête (enfin, en quelque sorte). C’est pourquoi, en ce jour funeste de rentrée scolaire parisienne, je me rattrape. Je me rattrape très bien, je suis assez fière je dois dire.

Aujourd’hui, je peux officiellement dire que je suis devenue une GleeAddict.
Flashback, revenons au spitch (que tout le monde devrait connaitre) : Will Schuster, prof d’espagnol au Lycée McKinley, a un jour l’idée étrange de faire revivre le « Glee club », chorale des loosers, de ses cendres, enfin ce qui l’en reste. Intellos, loosers, cheerleaders ou sportifs, ils vont tous y passer. Car, même si ils se détestent, ils ont quelque chose de précieux. Ils ont une voix incroyable, une énergie de malade et des personnalités uniques.
Après des mois d’attente, la série a décidé de pointer le bout de son nez sur W9, alors que les states en sont déjà à la fin de la saison 2… Grr.
Et là, succès monstre. Et je comprends tout à fait.
Entre les prises de têtes constantes Sue Sylvester/Will Schuster (ennemies forever), les crises d’hystérie positive de Rachel (soliste, boulet pour les autres membres du Glee club) et les reprises des plus grandes chansons (Like a Virgin, ou Single Ladies, à mourir de rire), je ne peux tout simplement plus me passer de cette merveille. Don’t stop believin’ !

Madonna revival
De gauche à droite: Rachel, Tina, Mercedes, Brittany, Quinn et Santana.

Au grand complet, mais sans complexes !


Puck ! De loin mon favoris.


Bon, niveau fashion, c'est pas encore ça...
(Rachel et Finn)

Au naturel.
(Cory Monteith et Lea Michele)

 


lundi 18 avril 2011

Le régal.




Il y a peu de temps, j’ai découvert Lisa Portelli. En fait, en recevant l’album, « Le régal », j’ai été un peu réticente. Je m’attendais à écouter encore la même chose, du genre le « nouveau talent » qui copie environ toutes les musiques tendances en ce moment, c'est-à-dire un mélange de rap-dance avec un soupçon de rock. Le mélange que je hais, en fait. Mais j’ai vite mis mes réticences au placard.
Ce qui m’a le plus surprise, dès la première chanson, c’est sa voix. Un peu usée, très sauvage. Malgré son visage doux et sans défense, elle cache dans sa voix un diamant brut. C’est très surprenant, mais on s’y habitue au fil des chansons.
Quand on l’écoute, on se croirait en plein milieu du désert américain, sur la route les cheveux au vent avec des tiags’ au pied. Elle nous donne un sentiment de liberté, de latitude. C’est incroyable.

Cela faisait longtemps que je n’avais pas eu de vrai coup de cœur musical (depuis le dernier album des strokes, ok. Mais pour moi ça fais longtemps !), et après l’écoute de ce disque, j’étais bluffée.
Merci Lisa !




 

samedi 16 avril 2011

Oeil pour Oeil.

Dés que je rencontre quelqu'un, je sais comment le déstabiliser ou le mettre à l'aise. Je me sert de mes yeux. Selon le regard que je fais, la personne peut se sentir agressée ou en confiance. Mes yeux (et mes cheveux bien sur) sont mes seuls grandes puissances. Parce qu'un regard peut tous changer. Vous n'avez jamais remarqué ?












vendredi 15 avril 2011

La vengeance des Louves.


Je dois l’avouer. Je suis déjà fan de Brigitte (le groupe, pas le prénom). Brigitte, 2 vraie nanas, 2 guerrières aux voix d’amazones. Malheureusement, je ne connaissais que quelques titres, dont le superbes reprises indie-folk langoureuse de « Ma Benz », version original d’NTM pour les incultes.

Pourtant, quand j’ai reçu l’album (en avant première, ouais ouais…), j’avais presque envie de l’admirer, et de ne pas l’écouter, j’avais vraiment peur d’être déçu. Eh bien je me suis trompée.
Les deux Pocahontas jouent de leurs voix puissante mais apaisante et légère, qui se mêlent à merveille. J’ai vraiment été rafraichie après l’écoute de cet album ! Pourtant, ce n’est pas vraiment ce que je veux en ce moment, je suis plus dans le rock 60’s. Mais reprenons.
Les mélodies me font étrangement penser à un mélange de Lucky Luke et à un western digne de Clint Eastwood, mais il y a même des influences rock, et disco (dans Oh lala ou même Après minuit) !
Pleine d’histoire d’amour torturée, les miss Brigittes sont visiblement dominatrices et vivante. Oui, c’est le parfait adjectif pour cet album : Il est vivant.





mardi 12 avril 2011

Treasure kit.

Après tous ces posts sur la fashion week, j’en ai oubliés ! Donc, reprenons. Revenons 1 mois en arrière, le 8 mars exactement. Accompagnée de la plus belle des nounous du monde, Ludiwine, je me dirige jusqu’aux Beaux Arts pour le défilé de Shiatzy Chen. Je me sens un peu intimidée parce que je vois tout le monde avec une invitation, et je suis la seule avec mon petit mail imprimé pour pouvoir rentrer. J’hésite, et demande à un organisateur juste devant moi si je pourrais rentrer ou si je peux m’en aller direct. Il comprend, et m’assure qu’il n’y a pas de problème. YEAH !
Après avoir failli mourir écrasées par 4 limousines et 30 standings avides de fashion week, nous arrivons enfin à pénétrer dans l’enceinte de la salle Melpomène. Assise, je découvre un magnifique sac, tout en dentelle. Je m’apprête à lire le descriptif, mais je n’ai pas le temps, le premier mannequin est déjà là.

Les couleurs, chaudes, riches et abondantes, sont incroyables ! La silhouette est luxueuse tout en restant simple. Les brocarts et la fourrure rivalisent avec le satin et la broderie asiatisante (je ne sais pas si ce mot existe, mais vous m’aurez surement comprise). Je ne suis pas vraiment fan des nœuds en satin, quasi omniprésents sur toutes les tenues, car je trouve que ça « surcharge » un peu sur certains vêtements. L’esprit de cette collection reste très « jeunes bourgeoises » qui se dédramatise avec des cols plongeants et de la transparence. J’y trouve même un côté old Dior, qui ne me déplait pas. Les robes de la fin, quoique pas trop mon style, étaient tout aussi fraiches.





J’ai aimé le côté simple, moins le côté luxe, ça n’est pas trop mon truc. Les broderies étaient vraiment extras, et le sac à trésor qu’elle nous a offert également…



lundi 11 avril 2011

Dragon Slayer.



Avant, j’étais plutôt rock, j’écoutais très peu de rap et de r’n’b, sauf du bon. Mais ça, c’était avant que j’écoute Pigeon John. Quand on m’a envoyé le nouvel album, j’étais assez sceptique, je trouvais ça trop « urbain » comme disent les journalistes, ou juste pas mon style.
Mais dès les premières secondes de l’album, je me suis pris une claque, une claque d’énergie. Il a réussi à mêler des beats électro (normale, il s’est allié à General elektriks), en rappant (enfin, c’est un grand mot, en chantant un peu plus), et en gardant cette fraicheur et cette diversité tout au long de l’album.

Hip-hop plein de pêche sur « the Bomb », un peu de soul légère (surtout dans la musique) pour « Rock Bottom Again », allant jusqu'à la « folk », moi qui aime la diversité et le changement, je suis comblée. Peut être qu’en voulant jouer sur tous les terrains et piocher un petit peu de tout dans les différents genres musicaux, il s’est perdu ? Peut être à t’il voulu en faire trop ?
En tout cas, ça va très bien.
Il m’a convertie à la « musique urbaine », c’est déjà une bonne action…




Bon, ce titre ne fait pas partie de l'album, mais je pense que c'est celui que je prefere de tous ses albums !
Alors, pourquoi vous en priver...